Inspirés par les méthodes de Joseph Folliet, nous ne voulons pas nuire à la réputation de ceux (morts ou vivants), qui ont fait condamner l'État français à nous verser une somme importante en raison de calomnies meurtrières. Ci-joint la décision du conseil d'État.
Nous souffrons encore des conséquences, en raison de la prise de position de l'Église de Nantes.
L'association Joseph Folliet a pris la devise de Mgr Rodhain : "La plus grande des charités, c'est la vérité". Ainsi continue-t-elle de dénoncer l'attitude de ses spoliateurs. L'association ne désire pas que ses souffrances soient utilisées pour entretenir des divergences.
L'ouverture Bd Jean XXIII de son atelier informatique est l'image de ce que réaliserait Joseph Folliet : l'accès à des personnes de toutes conditions et tous horizons à des formations pratiques.
Décision du Conseil d'État
Le conseil d'État a annulé vendredi la fermeture définitive du centre d'hébergement et de réadaptation sociale Joseph FOLLIET, à Bouguenais (Loire Atlantique), par arrêtés préfectoraux des 12 août - 27 octobre 1983 (conformément au jugement du tribunal administratif de Rennes, intervenu le 27 juillet 1988)
Il a pris en considération l'état de santé et le bien-être satisfaisant des 80 pensionnaires de ce centre, créé à l'initiative de l'abbé DURAND, en 1976.
Le fonctionnement et les méthodes de gestion de cet établissement, d'autre part, n'ont pas été jugés critiquables.
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